Témoignage de Elina Dumont
Comédienne (Paris)
Tout d’abord, j’apprécie le mélange des genres (pro, pas pro, jeune, pas jeune…) qui constitue les groupes des stages de clown d’Hervé Langlois.
Ses stages n’appartiennent pas qu’à une élite. Le rire peut devenir un art, mais peut aussi devenir une façon d’aborder la vie. C’est pourquoi, même un prof qui vient faire un stage, y trouvera son compte.
Faut-il encore être conscient de ses propres atouts comiques et se connaître ? De plus, pas besoin d’avoir la patate pour y participer.
On y participe avec l’état dans lequel on est.
Le travail d’Hervé Langlois le permet car il fonctionne au cas par cas.
Dans un groupe de douze, par exemple, il abordera le travail de clown à partir de chaque individualité. Le clown étant un travail très personnel, il faut aller chercher au plus profond de soi, ce qui peut parfois déboussoler.
Ses stages n’étant pas de l’art-thérapie, j’ai toujours apprécié chez lui sa capacité à aborder différemment les personnes en fonction de leurs fragilités. Sans doute, pour ne pas les ramasser à la petite cuillère à la fin du stage et il a raison.
Après tout, il existe des psys pour ça.
J’ai pu parfois trouver qu’Hervé Langlois était « dur » lors de mon premier stage, mais je me suis ensuite aperçue que c’était l’expression d’une grande générosité, d’une exigence et d’une grande ambition pour chacun… Ce n’était qu’une impression, c’est le travail qui est dur… pas Hervé ! (au contraire…)
Pour ceux et celles qui veulent en faire leur métier, c’est un travail de longue haleine. C’est pourquoi j’ai bien l’intention de refaire un stage très prochainement.
Ses stages n’appartiennent pas qu’à une élite. Le rire peut devenir un art, mais peut aussi devenir une façon d’aborder la vie. C’est pourquoi, même un prof qui vient faire un stage, y trouvera son compte.
Faut-il encore être conscient de ses propres atouts comiques et se connaître ? De plus, pas besoin d’avoir la patate pour y participer.
On y participe avec l’état dans lequel on est.
Le travail d’Hervé Langlois le permet car il fonctionne au cas par cas.
Dans un groupe de douze, par exemple, il abordera le travail de clown à partir de chaque individualité. Le clown étant un travail très personnel, il faut aller chercher au plus profond de soi, ce qui peut parfois déboussoler.
Ses stages n’étant pas de l’art-thérapie, j’ai toujours apprécié chez lui sa capacité à aborder différemment les personnes en fonction de leurs fragilités. Sans doute, pour ne pas les ramasser à la petite cuillère à la fin du stage et il a raison.
Après tout, il existe des psys pour ça.
J’ai pu parfois trouver qu’Hervé Langlois était « dur » lors de mon premier stage, mais je me suis ensuite aperçue que c’était l’expression d’une grande générosité, d’une exigence et d’une grande ambition pour chacun… Ce n’était qu’une impression, c’est le travail qui est dur… pas Hervé ! (au contraire…)
Pour ceux et celles qui veulent en faire leur métier, c’est un travail de longue haleine. C’est pourquoi j’ai bien l’intention de refaire un stage très prochainement.