Témoignage de Florence Roussin
Violoniste à l’Opéra de Paris (Créteil)
Hervé Langlois, un ange habité d’une dimension hors du commun, au regard digne d’un Perceval en quête du Graal, clown, à l’allure ondulante, entre un hidalgo et un hikory, doté d’une exigence proche de la jubilation obsessionnelle d’enfanter un clown unique, infiniment attachant.
Un Maître de l’humour avec un grand « H »,
L’amour fou de la transcendance,
Avec une belle audace,
Il vous provoque à l’arme blanche du langage,
« Vous pleurez ?
Mourez de rire plutôt ! et des larmes de joie inonderont votre vie »
(dixit « Roussin » – moi –, prononcez à l’anglaise !)
Il y a « avant » Hervé Langlois, et « après »…
Le même ne revient jamais au m’aime,
Et, pour cela,
Venez soulever le voile de la pudeur et vous rencontrerez, peut-être, l’ombre d’un clown qui ne demande qu’à chanter !
Mêlez-vous au « chœur »-à-corps !
(accords parfaits et dissonants entremêlés)
Et, dans cet espace, le vertige du temps et des émotions vous révéleront des zones sensibles, inattendues, extrêmes, vides parfois, insensées, drôles, jouissives…
Un Maître de la pédagogie, soucieux de rassembler ses élèves autour
du projet « Recevoir son clown »,
Mon violon chante à Hervé Langlois une mélodie d’amour pour son grand professionnalisme et son humanisme.
Un Maître de l’humour avec un grand « H »,
L’amour fou de la transcendance,
Avec une belle audace,
Il vous provoque à l’arme blanche du langage,
« Vous pleurez ?
Mourez de rire plutôt ! et des larmes de joie inonderont votre vie »
(dixit « Roussin » – moi –, prononcez à l’anglaise !)
Il y a « avant » Hervé Langlois, et « après »…
Le même ne revient jamais au m’aime,
Et, pour cela,
Venez soulever le voile de la pudeur et vous rencontrerez, peut-être, l’ombre d’un clown qui ne demande qu’à chanter !
Mêlez-vous au « chœur »-à-corps !
(accords parfaits et dissonants entremêlés)
Et, dans cet espace, le vertige du temps et des émotions vous révéleront des zones sensibles, inattendues, extrêmes, vides parfois, insensées, drôles, jouissives…
Un Maître de la pédagogie, soucieux de rassembler ses élèves autour
du projet « Recevoir son clown »,
Mon violon chante à Hervé Langlois une mélodie d’amour pour son grand professionnalisme et son humanisme.